Nous cherchâmes, tant qu'il flt jour, notre chemin à travers ces bois ; mais plus nous cherchions , plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon; mais comment... Oeuvres de P. L. Courier - Page 482by Paul-Louis Courier - 1851 - 605 pagesFull view - About this book
| 1828 - 686 pages
...à une tête de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces hois ; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions,...comment faire? Là nous trouvons toute une famille de charhonniers à table , où du premier mot on nous invita ; mon jeune homme ne se fit pas prier : nous... | |
| 1828 - 688 pages
...; devais-je me fier à une tête de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemina travers ces bois ; mais plus nous cherchions, plus...arrivâmes près d'une maison fort noire ; nous y entrâmes , uon sans soupçon, mais comment faire? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers:! table,... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...égara. Ce l'ut ma faute; devais-je me fier à une tète de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois ; mais plus...perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes prés d'une maison fort noire ; nous y entrâmes. nou sans soupçon, mais comment faire ? Là nous... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 428 pages
...égara. Ce fut ma faute; devais-je me fier à une tête de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois.; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était1 nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans... | |
| Guyet de Fernex - 1843 - 576 pages
...égara. Ce fut ma faute: devais-je me fier à une tète de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus...d'une maison fort noire; nous y entrâmes, non sans soupçons: mais comment faire? Là nous trouvons toute une famifle de charbonniers à table, où du... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...égara. Ce fut ma faute, devais je me fier à une tête de vingt ans ? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais, plus...table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune lion mu- ne se fit pas prier : nous voilà mangeant et buvant, lui du moins, car pour moi j'examinais... | |
| Paul-Louis Courier - 1845 - 482 pages
...égara. Ce fut ma faute; devais-je me fier à une tête de vingt ans? Nous cherchâmes , tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois ; mais plus...quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. >'ous y entrâmes, non sans soupcon, mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers... | |
| Edouard Salvador - 1845 - 320 pages
...fut ma faute ; devais-je me fier à une tête de » vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit » jour, notre chemin à travers ces bois; mais » plus nous cherchions, plus nous nous per» dions, et il était nuit noire, quand nous ar» rivâmes près d'une maison fort noire. Nous... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...égara. Ce fut ma faute ; devais-je me fier à une tête de vingt ans ? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois ; mais plus...entrâmes, non sans soupçon, mais comment faire ? Là nous trouvions toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita ; mon jeune... | |
| André Sears - 1850 - 426 pages
...égara. Ce fut ma faute, devais-je me fier à une tête5 de vingt ans ? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois : mais plus...cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit 6 noire quand nous arrivâmes près d" une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon,... | |
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