| Jacques Bénigne Bossuet - 1805 - 470 pages
...parties les plus basses. Ainsi , parmi les Égyptiens , les prêtres et les soldats avoientdesmarques d'honneur particulières : mais tous les métiers, jusqu'aux moindres, étaient en estime ; et on ne croyoit pas pouvoir sans crime mépriser les citoyens dont les travaux, quels qu'ils fussent, contribuoientaubien... | |
| Martin Luther - 1806 - 786 pages
...pouvoir, fans crime, meprifcr les Citoyen«, dont les travaux, quels qu'il» fuííení, contribuoient au bien public. Par ce moyen tous les Arts venaient à leur • perfection : l1 honneur qui les nourrit s'y mêlait par tont: en fui foi t mieux ce qu'on avoit toujours à faire,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 598 pages
...d'honneur particulières : mais tous les métiers, jusqu'aux moindres, étoient en estime; et on ne croyoit pas pouvoir sans crime mépriser les citoyens , dont les travaux, quels qu'ils fussent, contribuoient au bien public. Par ce moyen tous les arts venoient à leur perfection : l'honneur qui... | |
| Charles Rollin - 1821 - 544 pages
...ni les parties les plus basses. Ainsi, parmi les Egyptiens, les prêtres, les soldats, les savants, avaient des marques d'honneur particulières; mais...métiers, jusqu'aux moindres, étaient en estime, parce qu'on ne croyait pas pouvoir sans crime mépriser des citoyens dont les travaux, quels qu'ils... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1823 - 434 pages
...particulières : mais tous les métiers, jusqu'aux moindres, étoient en estime ; et on ne croyoit pas pouvoir sans crime mépriser les citoyens, dont les travaux, quels qu'ils fussent, contribuoient au bien public. Par ce moyen tous les arts venoient à leur perfection: l'honneur qui... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...les parties les plus basses. Ainsi, parmi les Egyptiens, les prêtres et les soldats avaient >•> marques d'honneur particulières ; mais tous les métiers...jusqu'aux moindres, étaient en estime; et on ne croyait r.-is pouvoir, sans crime, mépriser les citoyens, dont les •.•i-.-aux, quels qu'ils fussent, contribuaient... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 842 pages
...éclat ne fait pas mépriser les pieds , ni les parties les plus basses. Ainsi , parmi les Égyptiens , les prêtres et les soldats avaient des marques d'honneur...qu'ils fussent , contribuaient au bien public. Par ce moyeu tous les arts venaient à leur perfection : l'honneur qui les nourrit s'y mêlait partout : un... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1844 - 532 pages
...éclat ne fait pas mépriser les pieds, ni les parties les plus basses. Ainsi, parmi les Egyptiens, les prêtres et les soldats avaient des marques d'honneur...ce moyen tous les arts venaient à leur perfection : l'honneur qui les nourrit s'y mêlait partout : on faisait mieux ce qu'on t.Diod.lib. l,mct.i,n.... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1844 - 584 pages
...mépriser les pieds, ni les parties les plus basses. Ainsi, parmi les Egyptiens, les prêtres etles soldats avaient des marques d'honneur particulières...les travaux, quels qu'ils fussent, contribuaient au biev public. Par ce moyen tous les arts venaient à leur perfection : l'honneur qui les nourrit s'y... | |
| Charles Rollin - 1846 - 492 pages
...parties les plus basses. Ainsi , parmi les Égyptiens , les prêtres , les soldats , les savants , avaient des marques d'honneur particulières ; mais...métiers , jusqu'aux moindres , étaient en estime , parce qu'on ne croyait pas pouvoir sans crime mépriser des citoyens dont les travaux , quels qu'ils... | |
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