...commence à penser sérieusement à son salut , et à celui de se£ sujets : si Dieu nous le conserve , i! n'y aura plus qu'une religion dans son royaume. C'est le sentiment de Mr. de Louvois ; et je le crois là-dessus plus volontiers , que Mr. Colbert , qui ne pense , qu'à...

...M. Colbert , qui en est le panégyrique. Elle mande : « II n'y aura » plus qu'une religion dans le royaume , c'est le » sentiment de M. de Louvois ; et je le crois là» dessus plus volontiers que M. Colbert , qui ne » pense qu'à ses finances, et presque jamais...

...Main» tenon ; c'est le sentiment de M. Lou» vois , et je le crois là-dessus plus vo» lontiers que M. Colbert , qui ne » pense qu'à ses finances et presque « jamais à la religion. » Colbert avait une taille médiocre , l'œil perçant , des »ourcils épais, le regard austère,...

...elle écrivait : u Le roi commence à penser sérieusement à son salut et à celui de ses «sujets. Si Dieu nous le conserve il n'y aura plus qu'une religion...et je le crois plus «volontiers là-dessus que M. Colbert, qui ne pense qu'à ses finances et « presque jamais à la religion. » N'est-il pas évident...

...sérieusement à son salut et à celui de ses sujets. Si Dieu nous le conserve, il n'y aura plus qu'vine religion dans son royaume : c'est le sentiment de M. de Louvois, et je le crois là-dessus plus volontiers que Colbarl, qui ne pense qu'à ses projets et jamais à la religion.»...

...son salut et à celui de ses sujets. Si Dieu » nous le conserve, il n'y aura plus qu'une re» ligion dans son royaume. C'est le sentiment » de M. de Louvois ; et je le crois plus volon» tiers là-dessus que M. Colbert, qui ne pense » qu'à ses finances , et presque jamais à...

...son salut et à celui de ses sujets. Si Dieu » nous le conserve, il n'y aura plus qu'une re» ligion dans son royaume. C'est le sentiment » de M. de Louvois ; et je le crois plus volon» tiers là-dessus que M. Colbert , qui ne pense » qu'à ses finances , et presque jamais à...

...son salut et à celui de ses sujets. Si Dieu » nous le conserve, il n'y aura plus qu'une re» ligion dans son royaume. C'est le sentiment » de M. de Louvois ; et je le crois plus volon« tiers là-dessus que M. Colbert, qui ne pense » qu'à ses finances , et presque jamais à...

...doit être plutôt regardé comme un éloge. « II n'y aura plus, dit-elle, qu'une religion dans le royaume ; c'est le sentiment de M. de Louvois ; et je le crois là -dessus plus volontiers que M. Colbert, qui ne pense qu'à ses finances , et presque jamais à...

...autres choses : « Le roi commence à penser sé« rieusement à son salut .et à celui de ses sujets. Si « Dieu nous le conserve, il n'y aura plus qu'une...c'est le sentiment de « M. de Louvois, et je le crois là-dessus plus vo« lontiers que M. Colbert, qui ne pense qu'à ses « finances et presque jamais...