| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1859 - 520 pages
...cette lecture. J'exprimai ce que « j'éprouvais plus encore par mes regards que par « mes paroles : elle m'intimidait et m'attirait à la « fois. On...personne « parfaitement naturelle dans une nature supé« rieure. De son côté, elle fixait sur moi ses grands « yeux, mais avec une curiosité pleine... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1859 - 506 pages
...cette lecture. J'exprimai ce que « j'éprouvais plus encore par mes regards que par « mes paroles : elle m'intimidait et m'attirait à la « fois. On...personne « parfaitement naturelle dans une nature supé(i rieure. De son côté, elle fixait sur moi ses grands « yeux, mais avec une curiosité pleine... | |
| Académie nationale de Metz, Académie de Metz - 1865 - 954 pages
...ces mois je reconnus Mine de Staël. Je n'entendis pas le reste de la phrase, je rougis, mon (rouble fui extrême Elle m'intimidait et m'attirait à la fois. On sentait tout de suite en elfe une personne parfaitement naturelle dans nne nature supérieure. De son côté, elle fixait sur... | |
| 1867 - 844 pages
...pour cette lecture, .l'exprimai ce que j'éprouvais plus encore par mes regards que par mes paroles : elle m'intimidait et m'attirait à la fois. On sentait tout de suite une personne toute naturelle dans une nature supérieure. D'un autre côté, elle fixait sur moi ses... | |
| Guizot (M., François) - 1868 - 494 pages
...pour cette lecture. J'exprimai ce que j'éprouvais, plus encore par mes regards que par mes paroles; elle m'intimidait et m'attirait à la fois. On sentait...mais avec une curiosité pleine de bienveillance, et elle m'adressa sur ma figure des compliments qui eussent paru exagérés et trop directs s'ils n'avaient... | |
| François Guizot - 1868 - 494 pages
...cette lecture. J'exprimai ce que j'éprouvais, plus encore par mes regards que par mes paroles;4elle m'intimidait et m'attirait à la fois. On sentait...mais avec une curiosité pleine de bienveillance, et elle m'adressa sur ma figure des compliments qui eussent paru exagérés et trop directs s'ils n'avaient... | |
| 1859 - 842 pages
...pour cette lecture. J'exprimai ce que j'éprouvais plus encore par mes regards que par mes paroles : elle m'intimidait et m'attirait à la fois. On sentait...mais avec une curiosité pleine de bienveillance, et m'adressa sur ma figure des compliments qui eussent paru exagérés et trop directs, s'ila n'avaient... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1876 - 544 pages
...« j'éprouvais plus encore par mes regards que par « mes paroles : elle m'intimidait et m'atiirait à la « fois. On sentait tout de suite en elle une...personne « parfaitement naturelle dans une nature supj« rieure. De son côté, elle fixait sur moi ses grands a yeux, mais avec une curiosité pleine... | |
| 1903 - 644 pages
...je reconnus Madame de Staël. Je n'entendis pas le reste de la phrase ; je rougis ; mon trouble fut extrême. Elle m'intimidait et m'attirait à la fois....parfaitement naturelle, dans une nature supérieure. De son coté, elle lixait sur moi ses grands yeux, mais avec une curiosité plume de bienveillance. Mon trouble... | |
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