 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 550 pages
...franchir la porte que je ne «me souvenais pas d'avoir va s'ouvrir pour • me laisser entrer, je rue trouvai dans une « voiture avec ma tante, et nous...comme dans un • vague et doux rêve, avec ses nuages d'en« cens, ses cérémonies infinies, ses processions " dans les jardins, ses chants et ses fleurs.... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1849 - 1130 pages
...lar« mes, je venais de franchir la porte que je ne « me souvenais pas d'avoir va s'ouvrir pour « me laisser entrer , je me trouvai dans une « voiture...comme dans un « vague et doux rêve, avec ses nuages d'en« cens, ses cérémonies infinies, ses processions « dans les jardins, ses chants et ses fleurs.... | |
 | Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1859 - 520 pages
...larmes, je venais de fran« chir la porte que je me souvenais à peine d'avoir « vue s'ouvrir pour me laisser entrer, je me trouvai « dans une voiture...si « calme et si pure pour entrer dans celle des agita« tions ; elle me revient quelquefois comme dans un « vague et doux rêve , avec ses nuages... | |
 | 1859 - 522 pages
...voilure avec ma tanle el nous parfîmes pour Paris. — Je quille h regret une époque si calme el si pure pour entrer dans celle des agitations; elle me revient quelquefois comme dans un vague el doux rêve, avec ses nuages d'encens, ses cérémonies infinies, ses processions dans ses jardins,... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1860 - 556 pages
...de larmes, je venais de franchir la porte que je ne « me souvenais pas d'avoir vue s'ouvrir pour me laisser « entrer , je me trouvai dans une voiture...ses nuages d'encens, ses cérémonies infinies, ses proces« sions dans les jardins, ses chants et ses fleurs. » Ces heures sorties d'un pieux désert... | |
 | 1860 - 424 pages
...couvent de la Déserte, à Lyon. « Cette époque si calme et si pure, dit-elle dans ses Souvenirs, me revient quelquefois comme dans un vague et doux rêve, avec ses nuages d'encens, ses cérémonies infmies, ses processions dans les jardins, ses chants et ses fleurs... C'est sans doute à ces vives... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1860 - 494 pages
...de larmes, je venais de franchir la porte que je me souvenais à peine d'avoir vue s'ouvrir pour me laisser entrer; je me trouvai dans une voiture avec ma tante, et nous partîmes pour Paris.—Je quitte à regret une époque si calme et si pure pour entrer dans celle des agitations;... | |
 | Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille - 1867 - 714 pages
...souvenais à peine d'avoir vu » s'ouvrir pour nie laisser entrer, je me trouvai dans une voi» ture avec ma tante et nous partîmes pour Paris. —Je...agitations; elle me revient quelquefois comme dans un » doux rêve, avec ses nuages d'encens, ses cérémonies infinies, «ses processions dans les jardins,... | |
 | Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille - 1867 - 720 pages
...souvenais à peine d'avoir vu s s'ouvrir pour me laisser entrer , je me trouvai dans une voi« ture avec ma tante et nous partîmes pour Paris. — Je...agitations; elle me revient quelquefois comme dans un » doux rêve , avec ses nuages d'encens , ses cérémonies infinies, » ses processions dans les jardins,... | |
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La veille du jour où ma tante devait venir « me chercher , je fus conduite dans la cham« bre de madame l'abbesse pour recevoir sa « bénédiction. Le lendemain, baignée de lar« mes, je venais de franchir la porte que je ne « me souvenais pas d'avoir... 
