| Alain René Le Sage - 1763 - 390 pages
...pas de moi, une efpéce de foldat, qui fur deux bâtons croifés appuyoit le bout d'une efcopète, qui me parut plus longue qu'une pique, et avec laquelle il me conchoit en joue. A cette vue, qui me fit trembler pour le bien de l'E^lifc, je m'arrêtai tout court,... | |
| Alexander Scot - 1803 - 574 pages
...pas de moi, une .efpèce de foldat, qui fur deux bâtons croifés apptiyoit le bout d'une efcopette, qui me parut plus longue qu'une pique, et avec laquelle il me couchoit en joue. A cette vue, qui me fit trembler pour le bien de PEgljfe, je_ -m'arrêtai tout court,... | |
| Alain René Le Sage - 1809 - 480 pages
...j'entendis une voix lamentable qui prononça ces paroles : Seigneur passant, ayez pitié, de grace, d'un pauvre soldat estropié ; jetez, s'il vous plaît,...qu'une pique, et avec laquelle il me couchait en joue. A cette vue, qui me fit trembler pour le bien de l'église, je m'arrêtai tout court; je serrai promptement... | |
| Alain René Le Sage - 1810 - 674 pages
...buisson, à vingt ou trente pas de moi, une espèce de soldat qui , sur deux bâtons croisés , appuyoil le bout d'une escopette qui me parut plus longue qu'une pique, et avec laquelle il me couchoit en joue. A cette vue, qui me fit trembler pour le bien de l'église, je m'arrêtai tout court... | |
| Alain René Le Sage - 1821 - 546 pages
...buisson, à vingt ou trente pas de moi, une espèce de soldat qui, sur deux bâtons croisés, appuyoit le bout d'une escopette qui me parut plus longue qu'une pique, et avec laquelle il me couchoit en joue. A cette vue, qui me fit trembler pour le bien de l'Eglise , je m'arrêtai tout court... | |
| Juan Antonio Llorente - 1822 - 330 pages
...espèce de soldat qui , sur deu* (•«*»•) j) bâtons croisés, appuyait 'le bout d'une escopettdqui me » parut plus longue qu'une pique, et avec laquelle il me » couchait en joue » (i). On ne connaît pas en France l'usage de voyager sur des mules; on n'y compte pas par ducats... | |
| 1831 - 438 pages
...à vingt ou trente pas™ de moi, une espèce de soldat, qui, sur deux bâtons croisés, appuyait u le bout " d'une escopette " qui me parut plus longue qu'une pique, et avec laquelle il me couchait enjoue.1* A cette vue, je m'arrêtai tout court ;15 je serrai™ promptement mes ducats, je tirai quelques... | |
| Alain René Le Sage - 1835 - 986 pages
...pas de moi, une espèce de soldat qui, sur deux bâtons croisés, appuyoit le bout d'une cscopette qui me parut plus longue qu'une pique, et avec laquelle il me couchoit en joue. A cette vue, qui me fit trembler pour w t ., ,A < ,•' rO H •si \ X HV i' !/ I... | |
| Alain René Le Sage - 1844 - 336 pages
...rosaire à gros grains , et en même temps j'entendis une voix lamentable qui prononça ces paroles : Seigneur passant , ayez pitié, de grâce, d'un pauvre...qu'une pique , et avec laquelle il me couchait en joue. A cette vue , qui me fit trembler pour le bien de l'Église , je m'arrêtai tout court ; je serrai... | |
| Alain René Le Sage - 1845 - 834 pages
..., à vingt ou trente pas de moi , une espèce de soldat qui , sur deux bâtons croisés , appuyoit le bout d'une escopette qui me parut plus longue qu'une pique , et avec laquelle il me couchoit en joue. A cette vue qui me fit trembler pour le bien de l'Eglise, je m'arrêtai tout court;... | |
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