...sont de petites bératitudes. » j^K "" M dans le testament politique du cardinal de Richelieu : « Si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir. » On ne peut imaginer une maxime plus féroce ni plus strictement observée...

...Enfin, quant au peuple, Richelieu le traite fort mal : « Tous les « politiques sont d'accord que si les peuples étaient trop à leur aise, il « serait impossible de les contenir il faut les comparer aux mulets < qui, étant accoutumés à la charge, se gâtent par un long repos...

...n'égale le mépris avec lequel en parle le grand cardinal. « Tous les politiques sont d'accord que si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir... La raison ne permet pas de les exempter de toute charge, parce que en...

...n'égale le mépris avec lequel en parle le grand cardinal. « Tous les politiques sont d'accord que si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir... La raison ne permet pas de les exempter de toute charge, parce que en...

...bouche (1); » lorsque Richelieu, ennemi des grands, mais né parmi eux, écrivait de son côté : « Si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir;... il faut les comparer aux mulets, qui, étant accoutumas à la charge,...

...tenir le peuple dans l'obéissance : « Tous les La Sorbonne. politiques sont d'accord, dit-il, que si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir.... S'ils étaient libres de tributs, ils penseraient l'être de l'obéissance....

...pour en faire comme le programme de son administration financière. « Si les peuples, at-il écrit, étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir. » Et l'on en a induit qu'il ya eu chez lui système à écraser la France...

...rien à cet ordre de choses. Il exprima lui-même ce qu'il en pensait : « Si les peuples, dit-il, étaient trop à leur aise, il serait impossible de...de droits, ils penseraient l'être d'obéissance. 11 faut les comparer aux mulets, qui, étant accoutumés à la charge, se gâtent par un long repos...

...s'assurer l'obéissance des masses, il fit peser sur elles les plus lourds impôts, attendu que « si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles du devoir. » Ces iniquités ne justifieraient-elles pas Montesquieu d'avoir appelé le...

...portait aux roturiers, qu'il contribua à élever : « Tous les politiques , dit-il , sont d'accord que, si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir... La raison ne permet pas de les exempter de toute charge, parce que, en...