| Norman Pinney - 1853 - 288 pages
...pied. On part à son moment, on s' arrête à sa volonté, on fait tant et si peu d' exercice qu' on veut. On observe tout le pays ; on se détourne à...à gauche ; on examine tout ce qui nous flatte ; on s' arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ;4 un bois touffu, je... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1854 - 664 pages
...ne conçois qu'une manière de voyager plus agréable que d'aller à cheval ; c'est d'aller à pied. On part à son moment , on s'arrête à sa volonté...rivière , je la côtoie ; un bois touffu , je vais * [Qui nulhtm non tempos in usus suos confert.. . nee optât crastinum née limet. Qunntulacnmqite... | |
| Norman Pinney - 1857 - 352 pages
...connais qu' une manière de voyager plus agréable que d'aller à cheval, c'est d'aller à pied. Ou part à son moment, on s'arrête à sa volonté, on fait tant et si peu d'exercice qu' on veut. On observe tout le pays ; on se détourne à droite, à gauche ; on examine tout ce qui... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - 774 pages
...ne conçois qu'une manière de voyager plus agréable que d'aller à cheval, c'est d'aller à pied. On part à son moment, on s'arrête à sa volonté,...On observe tout le pays; on se détourne à droite, 5 gauche; on examine tout ce qui nous flatte ; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je... | |
| Alfred G. Havet - 1863 - 508 pages
...conçois qu'une manière de voyager plus agréable quo d'aller a cheval : c'est d'aller à pied (p. 167). On part à son moment, on s'arrête à sa volonté,...détourne à droite, à gauche ; on examine tout ce qui flatte ; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je (666.) une rivière? je la côtoie; un... | |
| Anselme Ouradou - 1864 - 448 pages
...ne connais qu'une manière de voyager plus agréable que d'aller à cheval; c'est d'aller à pied. On part à son moment, on s'arrête à sa volonté...rivière, je la côtoie; un bois touffu, je vais sous son ombré; une grotte, je la visite; une carrière, j'examine les minéraux. Partout où je me plais,... | |
| Michel de Montaigne - 1866 - 544 pages
...voyageons point tristement assis, et comme emprisonnés dans une petite cage bien fermée... On observe le pays; on se détourne à droite, à gauche; on examine tout ce qui flatte ; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière? je la côtoie ; un bois... | |
| Gustave Gouellain, Jean Benoît Désiré Cochet - 1867 - 812 pages
...Rousseau, qu'une manière de voyager plus agréable que d'aller ii cheval : c'est d'aller à pied. On part à son moment, on s'arrête à sa volonté, on fait tant et si pou d'exercice qu'on veut : on observe tout le pays ; on se détourne à droite, à gauche ; on examine... | |
| Alfred G. Havet - 1868 - 386 pages
...agréable que d'aller à cheval: c'est d'aller a pied (p. 167). On part !i son moment, on s'arrête il sa volonté, on fait tant et si peu d'exercice qu'on veut. On observe tout le pays ; on so détourne à droite, a gauche ; on examine tout ce qui flatte ; on s'arrête à tous les points... | |
| University College, Dundee - 1889 - 358 pages
...ne conçois qu'une manière de voyaycr plus agréable que d'aller à cheval, c'est d'aller à pied. On part à son moment, on s'arrête à sa volonté, on fait tant et si peu d'exercice qu'on vent. On observe tout le pays et on se détourne à droite, à gauche ; on examine tout ce qui nous... | |
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